Catalogue des spectacles subventionnés par la Région
De loin si près
Compagnie : Cie Vilcanota - Bruno Pradet
Discipline(s) artistique(s) : Danse
Site Internet (ou page Web) du spectacle
Vidéo de présentation du spectacle
Langues : Sans parole
Année de création : 2024
Nombre d'interprètes : 8
Durée du spectacle : 60 minutes
Lieu de présentation : Intérieur
Type de public : Tout public
Coproduction(s) : Soutiens : DRAC et Région Occitanie, Ville de Montpellier.
Coprod/Résidences : Le Phare / CCN Havre Normandie (76), Sémaphore à Cébazat (63), Département de l’Hérault - Théâtre d’O à Montpellier (34), Théâtre Molière – Sète / Scène nationale archipel de Thau (34), Scène Nationale de Dieppe (76), Scène Nationale d’Aubusson (23), ), Scène de Bayssan à Béziers (34)
Prêt de studio : Boom’structur Clermont-Ferrand (63), ICI / CCN Montpellier Occitanie (34)
Cout de cession sur la base d'une représentation : Plus de 5 000 €
Synopsis « De loin si près »
8danseurs sur un plateau pour travailler sur de puissants ensembles, créer la sensation de foule et d’anonymat en offrant à chaque individu la possibilité d’exprimer sa singularité.
Le projet prend sa source dans la relation que la société entretient avec la contrainte, qu’elle soit physique, morale, spatiale ou temporelle, individuelle ou collective, elle est moteur de modifications dans les schémas établis.
"De loin si près" est une petite société qui tente de trouver le chemin d'une utopie.
Informations sur la compagnie « Cie Vilcanota - Bruno Pradet »
Direction artistique : Bruno PRADET
Contact pour la diffusion : Azzedine BOUDENE
Contact téléphonique : 0603093844
Contact mail : production@compagnie-vilcanota.fr
Commune du siège de la compagnie : 34070 Montpellier
Présentation de la compagnie :
Créée en 2000, la compagnie Vilcanota développe ses activités aussi bien en milieu rural que sur des scènes ou des festivals d’envergure nationale ou internationale.
Elle a produit plus d’une vingtaine de pièces qui triturent, décortiquent et malaxent le mystérieux genre humain dans sa singulière banalité. La danse y côtoie les mots, le tragique y fréquente le loufoque.
