« Derrière nos politiques régionales, nous portons pour l’Occitanie une vision et des actions en faveur d’une écologie progressiste, juste et populaire. Répondre à l’urgence climatique, ce sont des petits gestes du quotidien, indispensables, mais c’est aussi et surtout un grand mouvement de transformation. La transition écologique est trop souvent perçue comme une menace. Or, changer de modèle n’implique pas de revenir en arrière. Au contraire, c’est avoir le goût du progrès et de la confiance en l’avenir, c’est rechercher l’adhésion démocratique. C’est bâtir une espérance !
Nous avons besoin d’un collectif très fort pour déclencher des dynamiques massives et construire un nouveau récit mobilisateur, social et écologique. La justice sociale doit en être placée au cœur pour que chacun puisse vivre dignement. En Occitanie, avec notre Pacte vert, nous avons engagé une démarche de sobriété active et juste conjuguée à des investissements pour l’avenir de notre territoire et du pays.
Déployer une démarche de sobriété avec des solutions concrètes pour le climat pour, par exemple, mieux se déplacer, mieux se loger, ou encore mieux gérer l’eau. C’est tout le sens du plan eau que nous adopterons aujourd’hui. C’est une réponse concrète et co-construite pour assurer une gestion équilibrée avec de vrais moyens pour agir. Ou encore mieux produire et s’alimenter, ce sont de nouveaux engagements pour faciliter la diversité d’installation et la féminisation de la profession.
Nous poursuivrons nos investissements pour l’avenir de l’Occitanie. La France a un grand avenir industriel si on s’en donne les moyens. Notre pays a besoin de retrouver sa souveraineté. En Occitanie, nous sommes pionniers en œuvrant massivement en faveur de l’avion vert, des train hybrides et à hydrogène, des éoliennes flottantes au large de la Méditerranée, ou encore en investissant avec succès dans les industries créatives et culturelles » a déclaré Carole Delga.
Avant de conclure : « Tout cela est possible grâce à une gestion rigoureuse de notre budget régional. Si je regrette que le soutien de l’Etat ne soit pas à la hauteur, la Région continuera de faire preuve du plus grand volontarisme dans ses politiques publiques au service des habitants de l’Occitanie. »
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