DRAWinternational

Victoria Palma a été sélectionnée par DRAWinternational et les Abattoirs pour participer pour participer à une nouvelle résidence d’artiste à Caylus (82).

Victoria a étudié à l’école d’art pour enfants de Yalta du nom de F. A. Vasylieva. Elle est diplômée de l’école d’art de Donetsk, enseignée par Molodchinnyi Yuriy Vasyliovych, Kachanova Iryna Mykolaivna.
Après avoir obtenu son diplôme d’école d’art en 1997, elle a participé à de nombreuses expositions et organisé des projets artistiques créés pour soutenir et développer l’art contemporain en Ukraine.
Elle a réalisé huit expositions personnelles, et a participé à des projets, publications et expositions de groupe à l’international.

“Mon travail est une analogie associative dans laquelle je relie le temps, les sentiments, les pensées, en les transformant en symboles et en images. Le dessin est ma composante verbale pour communiquer avec le spectateur.
Toute perception des structures visuelles dépend de la reconnaissance des lignes.
Pour moi, la forme n’a toujours pas été l’essentiel.
Le concept de l’intrigue est un phénomène pour lequel je travaille.
Je crée de l’art lié à la vie et aux intérêts de la société, basé sur une compréhension subjective des faits et des choses.”

Victoria Palma

Hiraku présente actuellement une importante exposition personnelle au Musée National d’Art Moderne GUNMA, sa residence est soutenue par l’Agence des Affaires Culturels du Japon.

"En tant qu’artiste, je travaille sur divers supports tels que l’œuvre bi-dimensionnelle, la sculpture, la vidéo, l’installation et la performance, mais toute ma pratique repose sur la notion de dessin dans une notion élargie. Je considère le « dessin » comme un acte consistant à creuser des lignes entre les images et le langage, et mon art explore son potentiel d’expansion dans l’espace et le temps. J’enseigne également le dessin expérimental à Global Art Practice, Graduate School of Fine Arts, Tokyo University of the Arts (GAP) en tant que professeur associé. Et depuis 2016, j’organise la plateforme internationale « Drawing Tube » de recherches et pratiques alternatives du dessin."

Hiraku Suzuki

John est titulaire d’un doctorat en dessin, “ Choreography of Drawing – the consciousness of the body in the space of a drawing " ‘Royal College of Art 2003’. Il continue l’exploration de ses idées via sa pratique personnelle et ses ateliers spécifiquement conçus pour stimuler les compétences, pratique et théorique de l’action créative en dessin.
John était directeur du ‘Centre of Art and Design Education’ au sein de ‘ l’University of Wales Institute Cardiff ’ et il enseignait le dessin, une formation pratique, théorique et technique, pour les étudiants de troisième cycle en éducation, céramique, et arts plastiques. Il intervenait également au ‘Royal College of Art’ Londres.
Il continue d’intervenir régulièrement en Grande-Bretagne et en Europe au sein de plusieurs écoles supérieures de beaux arts et organisations artistiques pour diverses actions (ateliers, séminaires, colloques…) et expose aussi ses œuvres en France et à l’étranger.

Grete est diplômée en arts plastiques (sculpture) et professeur qualifiée. Elle a travaillé en tant qu’artiste, professeur et administrateur en France et en Grande Bretagne. Grete a fondé son atelier et sa galerie d’art contemporain en Cornouaille, pour promouvoir l’art et design via des expositions et ateliers. Artiste/Sculpteur à Paris pendant six ans, Grete est retournée en Grande-Bretagne pour faire sa maitrise en arts visuels et puis enseigner les arts plastiques au Pays de Galles. A son retour en France, Grete était professeur d’arts plastiques à l’ecole municipale de dessin et peinture à Montauban, elle enseigne actuellement l’Atelier, Negrepelisse, Tarn et Garonne.
Ses œuvres représentent les traces de mémoire visuelles et perceptives qui sont conçus où réaffirmés pendant le processus créatif. Ces sculptures elles-mêmes sont des entités renouvelables et adaptables qui embrassent le dessin, le monotype et la céramique.

Christine Mackey, artiste Irlandaise, est boursière du programme Europe Créative - Culture moves Europe,

"Mon parcours incarne une approche multidisciplinaire thématique, motivée par l’écologie des espèces non humaines et leur relation complexe avec le lieu et les personnes. L’objectif général de cette résidence sera de s’inspirer et de développer pleinement de nouveaux conflits conceptuels scientifiques et botaniques axés sur la diminution rapide de la biodiversité sur Terre et son lien avec la perte d’habitat. Développer les récits complexes autour des extinctions et de ce que cela signifie pour les communautés non humaines et humaines à long terme. Par exemple, si une espèce disparaît, quel impact cela aura-t-il sur les autres communautés vulnérables et les microhabitats du lieu ?"

Christine Mackey

Tule Clow a étudié le dessin avec Thomas Cornell au Bowdoin College et a passé un semestre à Florence ainsi qu’à Madrid. Elle a également passé un an à l’Académie de Brera de Milan et six ans en tant qu’étudiante indépendante à l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg, en Russie. Elle a été profondément influencée par Michel-Ange, Pontormo, Titien, Tintoret et Poussin. Pendant des décennies, elle a dessiné la figure partout où elle pouvait trouver des modèles, le plus souvent en tant que membre régulier de groupes de dessin d’après nature, notamment au 23rd Street Studio à San Francisco. Son travail a été exposé en Russie, en Espagne, à Berlin et à Londres.

Le dessin a toujours été pour moi une pratique à part entière. Le dessin d’après nature, les carnets de voyage dans lesquels je transcris à la craie des détails ou des tableaux entiers dans des musées et des églises, et la copie de dessins de maîtres préférés, sont autant de pratiques permanentes en dehors de la peinture.

Quand j’ai fini l’académie, j’ai eu envie de peindre de grands tableaux narratifs avec de nombreux personnages. Je voulais plus de mouvement et de liberté. Mais j’ai vite compris que je devais retourner au dessin et étudier la composition.
Je suis venu à Caylus pour dessiner « pour soi », et non comme préalable à l à la peinture. Là où j’en suis maintenant, je commence à composer des groupes de figures après avoir dessiné des figures simples ou deux figures.